vendredi 23 décembre 2016
Développer la cartopgraphie aérienne pour réduire la nuisance bruit
Plusieurs types de carte sont susceptibles d’être exploités : cartes IGN plus ou
moins détaillées, fichiers SIG, relevés cadastraux, etc… Une cartographie
vectorisée permet des traitements de trajectographie rapides, en particulier pour
les visualisations de trafic en 3 dimensions.
Le système devra permettre la superposition de cartes.
Sur un fond de carte donné, le système devra permettre d’ajouter aisément
des points ou des zones (par introduction des coordonnées en latitude et longitude
dans le repère WGS84 par exemple). Une sélection automatique des trajectoires
situées en dehors d’une zone peut être utile, notamment pour vérifier le respect
des procédures d’approche ou de décollage par les aéronefs.
Un marqueur déplacé par l’utilisateur sur la carte pourrait indiquer à chaque
instant sa position, en latitude longitude, ou X, Y. Un point de référence devrait
être paramétrable à partir duquel un vecteur distance azimut serait disponible à la
souris. Il est souhaitable que le système soit capable de présenter une visualisation en
3D. En effet, l’altitude de survol est une donnée essentielle de la surveillance des
nuisances sonores et du respect des procédures de navigation aérienne.
L’ergonomie d’une visualisation 3D est particulièrement appréciée du grand
public. La visualisation en 2D (selon plusieurs coupes) sera le mode de
visualisation préféré lors d’analyses de trajectoires. Différentes vues doivent permettre d’établir les profils d’atterrissage et de
décollage des avions, et de vérifier le respect des procédures en vigueur. Les
fonctionnalités classiques d’un tel système devront être disponibles
(agrandissements, aide, sauvegarde des résultats, etc.)
L’utilisateur devra pouvoir effectuer des sélections en fonction des données
disponibles (les différents filtrages sont décrits ci-dessous). L’ensemble de ces
données doit pouvoir être accessible à l’écran, à tout moment. Source: fouga magister