vendredi 23 décembre 2016

Développer la cartopgraphie aérienne pour réduire la nuisance bruit

Plusieurs types de carte sont susceptibles d’être exploités : cartes IGN plus ou moins détaillées, fichiers SIG, relevés cadastraux, etc… Une cartographie vectorisée permet des traitements de trajectographie rapides, en particulier pour les visualisations de trafic en 3 dimensions. Le système devra permettre la superposition de cartes. Sur un fond de carte donné, le système devra permettre d’ajouter aisément des points ou des zones (par introduction des coordonnées en latitude et longitude dans le repère WGS84 par exemple). Une sélection automatique des trajectoires situées en dehors d’une zone peut être utile, notamment pour vérifier le respect des procédures d’approche ou de décollage par les aéronefs. Un marqueur déplacé par l’utilisateur sur la carte pourrait indiquer à chaque instant sa position, en latitude longitude, ou X, Y. Un point de référence devrait être paramétrable à partir duquel un vecteur distance azimut serait disponible à la souris. Il est souhaitable que le système soit capable de présenter une visualisation en 3D. En effet, l’altitude de survol est une donnée essentielle de la surveillance des nuisances sonores et du respect des procédures de navigation aérienne. L’ergonomie d’une visualisation 3D est particulièrement appréciée du grand public. La visualisation en 2D (selon plusieurs coupes) sera le mode de visualisation préféré lors d’analyses de trajectoires. Différentes vues doivent permettre d’établir les profils d’atterrissage et de décollage des avions, et de vérifier le respect des procédures en vigueur. Les fonctionnalités classiques d’un tel système devront être disponibles (agrandissements, aide, sauvegarde des résultats, etc.) L’utilisateur devra pouvoir effectuer des sélections en fonction des données disponibles (les différents filtrages sont décrits ci-dessous). L’ensemble de ces données doit pouvoir être accessible à l’écran, à tout moment. Source: fouga magister

mercredi 21 décembre 2016

Virée de la télé parce que trop grosse

La télévision d'Etat égyptienne a décidé de priver d'antenne des présentatrices à cause de leur surpoids, a annoncé jeudi à l'AFP sa directrice Safaa Hegazy, une décision qui divise l'opinion publique dans ce pays. Six à huit présentatrices seront touchées par la décision qui entre "dans le cadre du développement de la programmation dans la forme et le contenu", a indiqué Mme Hegazy. Les présentatrices auront la possibilité de continuer à travailler dans la production durant la période où elles doivent se mettre au régime. "Elles peuvent ensuite retourner à l'écran", a-t-elle ajouté. La décision a été qualifiée de "discriminatoire" par des groupes de défense des droits de l'Homme. C'est "honteux" et "contraire à la Constitution", a commenté le Centre d'assistance légale pour les femmes égyptiennes. L'une des présentatrices ciblées par la décision, Khadija Khattab, a estimé que "la publication de cette décision dans les journaux équivaut à une diffamation contre les présentatrices". Mme Hegazy a rejeté les accusations de sexisme. "Comment peut-il y avoir de discrimination contre les femmes dans une institution dirigée par une femme," a-t-elle dit. Selon elle, les présentatrices "ne sont plus comme elles étaient" quand elles ont été embauchées. Si certains ont dénoncé la décision de la télévision d'Etat, d'autres l'ont soutenue. "Je suis d'accord avec cette décision parce que l'apparence d'une présentatrice est un critère important", estime le journal d'Etat Al-Ahram citant un "spécialiste des médias", Sami Abdel Aziz.

La retraite la plus longue d'Europe

La différence entre l'âge légal de départ à la retraite et l'espérance de vie est bien plus élevée dans l'Hexagone que partout ailleurs. Elle atteint 23 ans en France contre 16,8 pour la moyenne européenne, selon BFM Business. Alors que la question de l'âge de départ à la retraite oppose chaque camp à chaque élection présidentielle, BFM Business s'est appuyée sur plusieurs données qui révèlent la France comme la plus généreuse avec ses salariés en fin de carrière professionnelle. En effet, ces statistiques comparent l'espérance de vie dans chaque pays d'Europe (étude d'Eurostat) et les relient avec l'âge de départ à la retraite. Conclusion : un Français qui quitte le monde du travail peut vivre 23 ans avec sa pension. Aucun autre État européen n'est aussi généreux. En effet, en Allemagne, l'écart entre l'espérance de vie et l'âge légal de départ à la retraite pour un salarié né en 1963 est de 15,9 ans. En Pologne, il est de 13,6. Au Royaume-Uni, de 18,4. En Italie, il est égale à 18,5 et en Espagne à 19,7. La moyenne européenne se situe à 16,8 années. Avec 23 ans, la France est championne d'Europe. Pourquoi ? Les autres pays ne font que repousser l'âge de départ légal à la retraite. Par exemple, en Allemagne le départ à la retraite s'effectue à 67 ans. Il sera peut-être repoussé à 69 ans, si le gouvernement suit les recommandations de la Bundesbank. Selon BFM Business, ce comparatif ne prend pas en compte la différence entre les hommes et les femmes - ces dernières bénéficient d'une espérance de vie supérieure et prennent leur retraite plus tôt dans plusieurs pays. En 2015, l'OCDE a noté que les femmes françaises avaient 27,2 années de retraite contre 23 ans pour les hommes.